20 mars 2012

Boucq, ça rend chèvre ...(arf)

Lors d'une interview de Laurent sur France5, le journaliste disait qu'il y avait du Bleuberry dans les traits de Félix, héros de Pour un Peu de Bonheur. 'faut être fort pour voir le cowboy derrière un masque qui cache la moitié de la face mais j'ai décidé de prendre ça pour un compliment ... et puis il faut avouer que Giraud n'est jamais très loin de ma table à dessin. Aujourd'hui je prends connaissance d'une chronique élogieuse sur Parutions.com qui me trouve un "je-ne-sais-quoi" de Boucq, dont je suis également un fervent admirateur depuis bien longtemps. Je vais finir par trouver la valve cachée à mes chevilles: elles sont de plus en plus gonflées ces derniers temps ... Non, sérieux, ça fait plaisir ... même si je suis conscient (très) -en parlant de chevilles- que vu le gigantisme de ces deux auteurs, je suis pas prêt d'être à la hauteur de leurs organes. C'est Philippe Bonnifay qui me disait qu'il fallait être plus têtu qu'une tique dans ce boulot: j'ai donc décidé de jouer le parasite, je m'accroche. Et si je rencontre aucune pince à épiler pour m'ôter de là j'essayerai même de grimper derrière la cuisse ... c'est là que c'est le plus goûteux ... Slurp.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est marrant, moi aussi ça m'a fait penser à du Fred Varga.
Josi

Archives du blog