... non, 37, pour être précis. Puisque tous les 5 avril je fais un an de plus depuis que je sortis au grand jour (à moins que ce soit la nuit? je ne sais pas) ébloui par ce monde. Qui, soit dit en passant, a bien terni depuis, même s'il fait bon vivre quoi qu'on en dise. La journée fut douce.
J'ai donc décidé que ce serait la journée des chiffres. Un chiffre pour mon anniversaire donc. Question BD, j'avais dit que fin mars sonnerait la 12eme planche, j'ai entamé hier la 13. On pourrait dire qu'à 12 sur 46 j'en suis au quart de l'album mais qu'à 15-16 planches j'en serais au tiers ... (on se raccroche à n'importe quel truc pour se rassurer qu'on touche un peu plus de la fin hein! ? ;o) ... ).
Un chiffre aussi pour nos chers candidats à l'élection présidentielle. Je n'en parlerai pas plus, tellement j'en suis gavé telle une oie du Sud-Ouest au maïs transgénique imbibé à l'Armagnac (paskeu c'est meilleur, cong! dirait Maïté): mais la sensation qui s'affirme avec le temps à propos de cette soit disante campagne-bien-plus-intéressante-que-les-dernières, c'est que le nombre de neurones qui leur sert à parler de leur programme est bien limité. Hin hin, attaques sous la ceinture, je sais ...
Plus âgé qu'un Jésus réssuscité, plus jeune qu'un présidentiable, je suis à un âge où depuis quelques temps je suis obligé de faire le calcul depuis l'année de ma naissance pour me souvenir avec certitude de l'âge que j'ai. C'est plutôt rigolo en fait. Je me souviens que je me foutais de la fiole de mon oncle qui à 40 piges ne se souvenait plus de son âge exact. Une sensation de boucle bouclée. Une sensation de nostalgie que j'aime assez: la nostalgie n'a jamais été un sentiment emprunt de tristesse chez moi, bien au contraire. Elle est souvent le terreau d'un début d'envie de faire.
Putain, ça passe vite! Merde! Allez faut que je me dépêche de les faire ces albums! ;)
J'ai donc décidé que ce serait la journée des chiffres. Un chiffre pour mon anniversaire donc. Question BD, j'avais dit que fin mars sonnerait la 12eme planche, j'ai entamé hier la 13. On pourrait dire qu'à 12 sur 46 j'en suis au quart de l'album mais qu'à 15-16 planches j'en serais au tiers ... (on se raccroche à n'importe quel truc pour se rassurer qu'on touche un peu plus de la fin hein! ? ;o) ... ).
Un chiffre aussi pour nos chers candidats à l'élection présidentielle. Je n'en parlerai pas plus, tellement j'en suis gavé telle une oie du Sud-Ouest au maïs transgénique imbibé à l'Armagnac (paskeu c'est meilleur, cong! dirait Maïté): mais la sensation qui s'affirme avec le temps à propos de cette soit disante campagne-bien-plus-intéressante-que-les-dernières, c'est que le nombre de neurones qui leur sert à parler de leur programme est bien limité. Hin hin, attaques sous la ceinture, je sais ...
Plus âgé qu'un Jésus réssuscité, plus jeune qu'un présidentiable, je suis à un âge où depuis quelques temps je suis obligé de faire le calcul depuis l'année de ma naissance pour me souvenir avec certitude de l'âge que j'ai. C'est plutôt rigolo en fait. Je me souviens que je me foutais de la fiole de mon oncle qui à 40 piges ne se souvenait plus de son âge exact. Une sensation de boucle bouclée. Une sensation de nostalgie que j'aime assez: la nostalgie n'a jamais été un sentiment emprunt de tristesse chez moi, bien au contraire. Elle est souvent le terreau d'un début d'envie de faire.
Putain, ça passe vite! Merde! Allez faut que je me dépêche de les faire ces albums! ;)
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